Des bancs de La Cité à la vie de tournée
Je m’en rappelle encore très bien. J’avais 6 ans et je venais d’avoir ma première guitare, inspiré par un papa musicien à ses heures.
Je m’en rappelle encore très bien. J’avais 6 ans et je venais d’avoir ma première guitare, inspiré par un papa musicien à ses heures.
Dans mon pays d’origine, Haïti, j’étais travailleur humanitaire auprès de l’ONG Plan International, où j’œuvrais à des dossiers de droits de l’enfant et d’égalité des genres.
D’une certaine façon, j’ai toujours su que je finirais par travailler en production agricole. Après tout, j’ai grandi sur la Ferme d’Orléans et y ai travaillé toute mon adolescence.
Étant un petit francophone de l’Est ontarien, il ne faisait pas de doute lorsque je suis sorti de l’école secondaire que La Cité était le collège pour moi.
Cela peut sembler surprenant, mais c’est en fait la traduction qui m’a amenée à m’intéresser à l’univers juridique.
J’avais 6 ans lorsque j’ai eu mon premier ordinateur, un Commodore VIC-20. Mon intérêt pour l’informatique s’est alors vite transformé en réelle passion.
La bienveillance et l’empathie au service des jeunes
J’ai toujours aimé cuisiner. Toute petite, j’observais ma grand-mère et mon père popoter, et ça me fascinait. C’est donc très jeune qu’inspirée par ma famille, j’ai entamé mon propre parcours dans la cuisine. Quelques années plus, alors maman à la maison, la cuisine est devenue mon repère et une façon pour moi de m’accomplir. Pendant
Retourner aux études pour donner un nouvel élan à sa carrière
J’ai choisi d’étudier en Production télévisuelle à La Cité parce que le monde de la télévision et du cinéma me fascinait et que je voulais découvrir l’envers du décor.
Je suis une timide. Si je le dis, c’est que je ne me destinais pas nécessairement à faire carrière dans un milieu où, comme femme, il importe de s’affirmer et de prendre sa place.
Immigrer dans un nouveau pays n’est pas chose facile. Surtout quand on arrive en plein milieu de l’hiver! Le déracinement, la perte de ses repères, il s’agit d’un défi important.
Je n’avais que 12 ans quand j’ai eu un coup de cœur pour la restauration – il y avait une telle énergie!
Depuis 2016, je suis propriétaire du bar laitier Le Yéti situé à Contrecoeur en Montérégie, une aventure qui a commencé à peine deux ans après avoir terminé mon programme au Collège
En sortant de l’école secondaire, le choix d’étudier en Orthèses visuelles m’apparaissait évident.
Yannick Brouillette : Mobiliser les gens grâce aux relations publiques
Caroline Goulet : Une diplômée au service de l’environnement
J’ai eu la chance de grandir dans une famille où l’éducation était considérée essentielle. Mes parents militaient pour le droit à une éducation en français pour les Franco-Ontariens.