On a tous une histoire – Jonathan nous raconte la sienne
Quand je suis partie de ma ville natale pour aller étudier à Ottawa, rien ne m’indiquait que je reviendrais un jour m’y installer pour y lancer ma propre entreprise.
Quand je suis partie de ma ville natale pour aller étudier à Ottawa, rien ne m’indiquait que je reviendrais un jour m’y installer pour y lancer ma propre entreprise.
J’ai toujours été un amant de la nature mais plus jeune, je n’avais aucune idée que je me retrouverais un jour à exercer un métier qui me permettrait de vivre de ma passion.
Je suis une timide. Si je le dis, c’est que je ne me destinais pas nécessairement à faire carrière dans un milieu où, comme femme, il importe de s’affirmer et de prendre sa place.
Immigrer dans un nouveau pays n’est pas chose facile. Surtout quand on arrive en plein milieu de l’hiver! Le déracinement, la perte de ses repères, il s’agit d’un défi important.
Si je suis toujours à La Cité une quinzaine d’années après y avoir étudié, c’est que je considère que mon travail comme directeur à la vie étudiante pour le compte de l’Association étudiante (AÉ)
Je n’avais que 12 ans quand j’ai eu un coup de cœur pour la restauration – il y avait une telle énergie!
Depuis 2016, je suis propriétaire du bar laitier Le Yéti situé à Contrecoeur en Montérégie, une aventure qui a commencé à peine deux ans après avoir terminé mon programme au Collège
En sortant de l’école secondaire, le choix d’étudier en Orthèses visuelles m’apparaissait évident.
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Caroline Goulet : Une diplômée au service de l’environnement
J’ai eu la chance de grandir dans une famille où l’éducation était considérée essentielle. Mes parents militaient pour le droit à une éducation en français pour les Franco-Ontariens.
C’était en 2001. Je n’avais pas encore obtenu mon diplôme du programme de Techniques de chauffage, de réfrigération et de climatisation de La Cité que j’avais déjà un emploi dans le domaine.
Si tu as un rêve, si tu veux vraiment quelque chose, vas-y et ne laisse personne ni quoi que ce soit t’en empêcher.
J’ai récemment célébré 20 ans de loyaux services comme employé de La Cité. C’est vous dire à quel point j’apprécie mon travail.
Je me suis souvent sentie jugée. À l’école secondaire, je subissais de l’intimidation en raison du fait que je vis avec un trouble du spectre de l’autisme (TSA).
J’ai vécu beaucoup de choses dans ma vie. Et aujourd’hui, j’aimerais partager un peu pourquoi je suis si reconnaissante envers La Cité.
Je vis une histoire d’amour avec La Cité depuis maintenant 20 ans.
Je m’appelle Charles Désilets, j’ai 36 ans et je suis un vétéran des Forces armées canadiennes qui carbure à l’optimisme et à la passion.