Plaidoyer pour une petite enfance plus positive et plus valorisante
Dans mon pays d’origine, Haïti, j’étais travailleur humanitaire auprès de l’ONG Plan International, où j’œuvrais à des dossiers de droits de l’enfant et d’égalité des genres.
Dans mon pays d’origine, Haïti, j’étais travailleur humanitaire auprès de l’ONG Plan International, où j’œuvrais à des dossiers de droits de l’enfant et d’égalité des genres.
D’une certaine façon, j’ai toujours su que je finirais par travailler en production agricole. Après tout, j’ai grandi sur la Ferme d’Orléans et y ai travaillé toute mon adolescence.
Étant un petit francophone de l’Est ontarien, il ne faisait pas de doute lorsque je suis sorti de l’école secondaire que La Cité était le collège pour moi.
Cela peut sembler surprenant, mais c’est en fait la traduction qui m’a amenée à m’intéresser à l’univers juridique.
J’avais 6 ans lorsque j’ai eu mon premier ordinateur, un Commodore VIC-20. Mon intérêt pour l’informatique s’est alors vite transformé en réelle passion.
La bienveillance et l’empathie au service des jeunes
J’ai toujours aimé cuisiner. Toute petite, j’observais ma grand-mère et mon père popoter, et ça me fascinait. C’est donc très jeune qu’inspirée par ma famille, j’ai entamé mon propre parcours dans la cuisine. Quelques années plus, alors maman à la maison, la cuisine est devenue mon repère et une façon pour moi de m’accomplir. Pendant
Retourner aux études pour donner un nouvel élan à sa carrière
J’ai choisi d’étudier en Production télévisuelle à La Cité parce que le monde de la télévision et du cinéma me fascinait et que je voulais découvrir l’envers du décor.
Aussi loin que je me rappelle, j’ai toujours voulu devenir policière. J’ai donc sauté sur l’occasion de faire partie de l’une des premières cohortes de Techniques des services policiers (TSP) de La Cité.
Quand je suis partie de ma ville natale pour aller étudier à Ottawa, rien ne m’indiquait que je reviendrais un jour m’y installer pour y lancer ma propre entreprise.
J’ai toujours été un amant de la nature mais plus jeune, je n’avais aucune idée que je me retrouverais un jour à exercer un métier qui me permettrait de vivre de ma passion.
Imaginez vivre une telle expérience qu’elle vient transformer votre perspective comme entrepreneur et nourrir votre offre de produits et services.
Je suis une timide. Si je le dis, c’est que je ne me destinais pas nécessairement à faire carrière dans un milieu où, comme femme, il importe de s’affirmer et de prendre sa place.
Immigrer dans un nouveau pays n’est pas chose facile. Surtout quand on arrive en plein milieu de l’hiver! Le déracinement, la perte de ses repères, il s’agit d’un défi important.
Si je suis toujours à La Cité une quinzaine d’années après y avoir étudié, c’est que je considère que mon travail comme directeur à la vie étudiante pour le compte de l’Association étudiante (AÉ)
Je n’avais que 12 ans quand j’ai eu un coup de cœur pour la restauration – il y avait une telle énergie!
Depuis 2016, je suis propriétaire du bar laitier Le Yéti situé à Contrecoeur en Montérégie, une aventure qui a commencé à peine deux ans après avoir terminé mon programme au Collège